3 films d'Uri Zohar

De : Uri Zohar

Israël, 1967, 1972, 1974,
zone 2,
30.00 €


TROIS JOURS ET UN ENFANT, 1967

Tourmenté par le souvenir douloureux d’un premier amour, un étudiant se voit confier pendant trois jours la garde de l’enfant d’une femme qu’il a aimée. Durant ces quelques jours passés ensemble, il reporte sur l’enfant les sentiments d’amour et de haine qu’il ressent encore pour cette femme.

LES VOYEURS, 1972

Sur la plage, à Tel-Aviv, les aventures échevelées de deux amis qui ne veulent pas grandir. Elli, marié, guitariste et grand séducteur, galère pour gagner sa vie et trompe sa femme sans l’assumer. Gutte, beach boy bougon, voudrait multiplier les conquêtes mais manque singulièrement de tact. Millie, la femme d’Elli, et Gutte ont une relation d’amitié sincère. Mais tout se complique car Gutte répugne de plus en plus à lui mentir pour cacher les frasques de son meilleur ami…

LES YEUX PLUS GROS QUE LE VENTRE, 1974

Benny Furman dirige une équipe de basket-ball dont la réussite de la saison est en train de se jouer. Marié, père de deux enfants, il multiplie les aventures extraconjugales. Mais sa femme découvre ses infidélités. Parallèlement, son meilleur ami, qui est aussi le meilleur joueur de son équipe, ne supporte plus son comportement de plus en plus méprisant pour ses proches… Benny perd les pédales…

"Uri Zohar, le Godard israélien" Jacques Mandelbaum, Le Monde

"Une carrière fulgurante, faite de gestes d’auteur et de grands succès populaires" Charlotte Garson, L’Arche

"C’est un petit miracle de voir cette œuvre quasi oubliée revenir sur les écrans français" Les Cahiers du cinéma

"Uri Zohar,c’est tout l’esprit des années 60. Des films libres, des films chocs. Entre les comédies italiennes et les films de Cassavetes. C’est l’itinéraire hors-norme d’une icône de la contre-culture devenue rabbin ultra-orthodoxe",Anne-Marie Baron, RCJ

"Une petite bombe cinématographique" Gonzaï